Un homme en colère

L’année 2016 ayant été une année particulièrement cauchemardesque, j’ai décidé de changer les choses pour 2017, et même de prendre les devants. Mieux vaut prévenir que guérir, comme on dit. Et pour ne pas me laisser influencer par la morosité ambiante, je veux cette année me faire plaisir. Et qu’on se le dise : je ne lésinerai pas sur les moyens ! Parce que je ne sais pas ce que vous en pensez, mais avec l’élection de Trump, il faut nous préparer à une année particulièrement déprimante. J’ai donc décidé de compenser en testant de nouvelles choses. Dernièrement, j’ai suivi cette logique jusqu’au bout et passé une journée positivement délirante durant laquelle j’ai pu m’essayer… au un combat aérien. Cette activité résolument originale se passe dans les environs de Bordeaux. J’y ai embarqué à bord d’un authentique avion vintage. Mais pas en tant que simple passager, non : en tant que pilote. Et dès que j’ai été assez à l’aise avec les commandes, j’ai pu participer à un fabuleux dogfight contre un autre engin ! Alors oui, c’était une simple simulation : il s’agissait en fait d’un laser game. Mais en plein ciel, et tellement bien réalisé que quand j’atteignais l’appareil ennemi, de la fumée s’en échappait ! Tout ça a fait que nous avons vite oublié qu’il s’agissait d’une simulation et nous sommes combattus comme deux as de la première guerre mondiale. Un moment magnifique ! Il y avait plus d’adrénaline que de sang dans mes veines, à ce moment-là ! Je n’en reviens toujours pas d’avoir vécu cette expérience. Et si vous vous demandez si un shoot d’adrénaline est efficace pour ne pas déprimer, je peux vous assurer que c’est bien le cas ! Même les idioties sans nom prononcées par un certain bonhomme à la coupe de cheveux improbable ne m’irritent plus. Vous vous rendez compte ? 🙂 Si vous aimez les expériences extraordinaires, je vous invite en tout cas à tenter l’aventure. Je vous mets en lien le site par lequel je suis passé pour mon combat aérien, si vous voulez creuser la question. A lire sur le site de ce pilote de chasse.

Lorsque les rayons du soleil frappent un vitrage, celui-ci laisse passer une partie de la lumière visible et des infrarouges de courte longueur d’onde. Le rayonnement solaire qui traverse le vitrage est alors absorbé par les parois lourdes (inertie thermique) du local, qui s’échauffent. Celles-ci ré-émettent dans toutes les directions un rayonnement infrarouge de grande longueur d’onde qui ne peut plus retraverser le vitrage. Le rayonnement ainsi piégé entraîne l’augmentation de la température intérieure. C’est « l’effet de serre » dans la maison. L’effet de serre est particulièrement bien mis en valeur avec une serre. Adossée à la maison, elle est orientée vers le sud. En hiver, le soleil bas pénètre profondément dans la serre. Les matériaux lourds exposés (ceux du sol ou/et des murs) accumulent la chaleur puis réchauffent l’air par convection. Les gains de chaleur sont transmis à la maison via les mouvements d’air chaud (thermocirculation de l’air). Par mauvais temps, la serre joue le rôle d’espace tampon : elle protège la maison des vents et des pluies et elle limite les déperditions thermiques. En été, des ouvertures pratiquées au sommet de la serre permettent d’éviter la surchauffe. Des arbres feuillus font de l’ombre, mais laissent filtrer les rayons du soleil en hiver. Idéalement, la serre ne doit pas être chauffée par une énergie autre que celle du soleil. Elle doit donc pouvoir être séparée du reste de l’habitation, que ce soit en hiver (pour ne pas avoir à la chauffer) ou en été (pour se protéger des chaleurs excessives). Le vitrage extérieur de la serre doit être double. Celui qui la sépare de l’intérieur de la maison peut être simple. La construction d’une serre accolée à l’habitation doit faire l’objet d’une demande de permis d’urbanisme, mais le concours d’un architecte n’est pas obligatoire sous certains conditions : on parle de « petit permis ». Renseignezvous auprès du Service Urbanisme de votre commune.